Dans des situations de profond désespoir, voire de pensées suicidaires, la grande majorité de la population dit qu'elle s’adresserait à des personnes de son entourage proche. Dans un cas de ce type, une personne sur quatre se tournerait toutefois aussi vers un∙e spécialiste du domaine de la santé.
Si quelqu’un de leur entourage avait l’air désespéré, les personnes interrogées voudraient lui demander pour la plupart ce qui ne va pas. Neuf personnes sur dix comptent selon leur déclaration une personne de confiance avec qui elles peuvent discuter. L’affirmation selon laquelle personne, dans leur environnement personnel, ne doit être au courant de leur crise existentielle est rejetée par la majorité des sondés, mais 26 % estiment qu’elle est (plutôt voire tout à fait) appropriée.